C'est avec ce sous-titre qui est une grande déclaration d'amour à l'attention de mes deux compères que je commence mon édito. Nous sommes le dimanche 18 octobre. Il est 9h du matin. A l'heure où d'autres sont encore dans les bras de Morphée, moi je suis dans mon salon, avachis dans mon canapé, à écrire cet édito. Me voici donc encore obligé de me lever tôt pour écrire ce putain d'édito. Ouais, comme d'habitude, c'est le même topo. Cedric me dit : "je me barre, mais ne t'inquiète pas, je l'écrirai avant de partir". Et comme toujours, il se barre, et l'édito est pour ma gueule. Le pire c'est de passer après un édito aussi excellent que  celui de la semaine dernière. Oh, j'aurais pu faire honneur à ma réputation de crevard et refiler le bébé à Geoffroy. J'y ai bien pensé. Je lui ai même parlé de mon idée d'un "double édito, histoire que je ne sois pas le seul à me faire chier à parler pour ne rien dire, en plus on aurait juste à en écrire un bout chacun". Mais depuis cette phrase, plus de nouvelle de notre lapin. Geoffroy fait le mort. Il se cache. Il m'a même viré de Facebook, de ses contacts MSN et a changé de numéro de portable. Le traitre. Quant à Cécilia, mon code de l'honneur m'interdit de laisser le sale boulot à une jeune demoiselle. Je pense que les éditos devraient être uniquement écrits par le rédacteur en  chef ou le dernier rédacteur arrivé. En l'occurence, Geoffroy. D'ailleurs la semaine prochaine je laisse la parole à la majorité en faisant un petit vote du type : "Qui choisissez-vous pour écrire définitivement les éditos ?". Je vous vois déjà venir. Vous allez voter Vincent juste pour me faire chier. Seulement Cedric et Geoffroy seront les seuls choix possibles. Pas complètement débile le Vincent. Bref, arrêtons là les pleurnicheries. D'habitude j'en fais mon beurre  en me plaignant pendant 2-3 paragraphes. Mais là je vais faire light. Je fais ça uniquement sur un paragraphe, parce que le beurre, c'est  peut être bon mais c'est gras et ça fait grossir. Je terminerai juste en maudissant une millième fois Cedric. Lui qui doit être tranquillement en train de boire une petite vodka avec sa femme... Mais je me console en me disant que d'ici quelques heures, il va se transformer en machine à fabriquer de l'huile d'olive. Il suffira juste que madame lui en glisse quelques-unes entre les fesses, et monsieur, tellement stressé par l'avion, se chargera du reste. Et ça, ça égaie ma journée. A tel point que finalement, la rédaction de cet édito en devient moins pénible. Je me méfierai juste de son huile d'olive la prochaine fois que j'irai manger chez lui. On ne sait jamais.

En attendant, cette semaine a été marque par un évènement important. Non, je ne parle pas de la demande de Cedric à Activision pour obtenir sa fellation sous lunettes à vision nocture. Bien que, ce fût fort drôle. Ni même de son 36ème anniversaire qui avait lieu le mardi 13 octobre (j'espère pour vous que vous le lui avez souhaité. Sinon je ne donne pas chère de votre peau dans les jours à venir). Je parle d'un autre évènement. En rapport avec le site. Evènement qui avait également lieu le 13 octobre et qui malheureusement est passé complètement inaperçu. Je vous laisse y réfléchir un peu. Quelques indices : Inpact Virtuel, des pleurs, GamAlive, Gizmo et Pete Boule deviennent Cedric et Pierre. Ca y est ? Vous commencez à comprendre ? Et oui. Ce mardi 13 octobre était aussi l'anniversaire de GamAlive. Son premier anniversaire d'ailleurs. Et oui, "déjà". Déjà un an que l'aventure Inpact Virtuel s'est terminée. Déjà un an que GamAlive s'est créé. Déjà un an que Cedric et Pierre, et maintenant Geoffroy, Cecilia et moi, partageons notre passion avec vous.

Un an durant lequel GamAlive aura grandi. Plus de news que lors de ses débuts. Un nouveau design plus personnel et qui fait plus l'unanimité que le premier. Plus de rédacteurs pour diffuser l'esprit GamAlavien sur la toile. A ce propos d'ailleurs, j'en profite pour remercier Cedric. Je ne l'ai encore jamais véritablement fait. Mais merci de m'avoir permi de rejoindre le navire. D'avoir confiance en moi. Ceci m'a permi et me permet encore de découvrir les coulisses d'un monde que je ne voyais que de l'extérieur. Avec mes petits yeux de joueur lambda. Merci, mille fois merci. Et même si, comme je te le dis souvent chaque semaine, je te hais parfois, je ne te serai jamais assez reconnaissant pour tout ça. Vraiment.

La petite parenthèse émotionnelle terminée, on peut reparler de GamAlive. Même s'il est vrai qu'il voudrait mieux que ce soit Cedric qui vous en parle. Il est mieux placé que moi pour parler de tout ça. Alors c'est vrai que pour l'instant, nous n'avons pas encore l'infrastructure que nous souhaiterions avoir. C'est à dire, des forums, une solide base de données et d'autres trucs du genre qui permettent de faire la différence. Du moins d'être assez solide pour que le site domine le monde. Mais nous y travaillons. Et nous y arriverons. Surtout si vous continuez à nous soutenir comme vous le faite. GamAlive c'est un peu de nous, mais c'est aussi beaucoup de vous. Vous, les messieurs et dames présents sur le site chaque jour. En tout cas, espérons sincérement que pour le deuxième anniversaire du site, tout ce que j'ai écrit au dessus soit présent. L'arrivée de Kenji dans nos rangs devrait grandement y contribuer.

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